mardi 29 mai 2012

de Beaucaire à Aigues Mortes.












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mardi 29 mai 2012, matinée.


Mardi 29 mai 2012, port d’Aigues Mortes , Gard 30.

5h30 , debout, Ghislain dort, je fais la vaisselle, je bois un café et vais aux douches, il fait très doux et le ciel est dégagé.

La capitainerie est de l’autre côté du port, je prends le vélo, hier soir on les à mis à terre pour aller en ville, qui est à deux pas, mais Ghislain préfère le vélo.

Il a rencontré des potes hier après midi pendant que je faisais la sieste, il est revenu vers 19 heures légèrement en forme, il veut me les présenter.

Donc il fait le souper, Asperges cuite au beurre thym, ail, pain. Très bien. Et puis on part en ville on fait le tour, c’est vite fait, Aigues Mortes ce n’est pas grand, mais qu’est ce que c’est beau.

On repasse à la terrasse des nouveaux amis de Ghislain, ils sont toujours là, en fait ce sont les garçons du resto, la patronne une dame de mon âge, est pompette, les trois garçons aussi.

On se met à la terrasse dans la rue, la patronne reconnait Ghislain et vient le saluer, c’est la fin de soirée, le service restauration est terminé, ils se détendent en rigolant.
Deux bières et on rentre dormir,

Ce matin, après ma douche je prends l’appareil photo et en vélo je fais le tour des remparts par l’extérieur de la ville fortifiée, puis je rentre dans la ville par une de ces nombreuses portes, elle commence à bouger, les poubelles, les camions jets d’eau, les balayeurs, les magasins de souvenirs ouvrent leurs portes, les cafés, les bars tabac, tout ce met en place, il est 7 heures du matin.

Je photographie un peu et reviens à la BE, Ghislain dort toujours, j’écris ce texte, à 8 heures il se lève, la tête un peu , comment dirais-je ? Fripée ?

Il boit du jus de fruit, mange un pamplemousse, des dates, une banane et s’encourt aux toilettes.

C’est sa dernière journée sur la BE, ce soir mes frères arrivent par l’avion Ryanair qu’il reprendra vers Charleroi.

C’est un formidable pote Ghislain, toujours positif, content de tout, s’émerveillant avec rien. Merci pour cette semaine, vi copain.

Ici au Port d’Aigues Mortes, la BE est accostée par l’avant, ici  rares sont les places ou on s’accoste latéralement, hors la BE n’a pas de sortie par l’avant ni par l’arrière, donc escalade pour entrer et sortir, mon frère Georges ne pourra pas faire cet exercice, je dois trouver une autre place pour ce soir, j’ai été voir au ponton d’accueil,  le seul à accueillir les bateaux latéralement, il est plein, j’espère qu’un plaisancier va partir durant la journée , dès lors je prendrai la place, encore faut il que nous soyons là tous les deux au bon moment.

Il fait radieux nous allons visiter la ville, je vais aussi aller voir au chantier naval si ils ont une pompe pour la douche, sinon on me dit qu’à Latte il y a une base LOCABOAT, ceux-ci fabriquent les Pénichettes, qui est une marque déposée  ils en vendent et en louent, ils doivent en avoir là-bas.

A tout à l’heure pour la suite….

Lundi 28 mai 2012


Lundi 28 mai 2012 port de Beaucaire,

5h00 je me lève, fais la vaisselle et écris un peu le journal, café, déjeuner, Ghislain se lève vers 7h00,  à 8h45 on appareille vers AIGUES MORTES. C’est plus ou moins à 42 km.

On dois actionner l’écluse autonome de Nourriguier, un plaisancier est amarré au seul ponton d’attente, je m’amarre à lui, puis je vais déclencher le mécanisme.

J’inscris le passage au livre de L’écluse,  et retourne à la BE 510 secondes après le déclenchement la porte s’ouvre, le SAS est rempli, c’est indiqué dans les instructions.

Je rentre dans le sas, me mets au bout pour laisser place au second.
J' aides à amarrer en passant leurs bouts dans les bites du quai, oui je sais….. Les termes de navigation  sont parfois troublants.

Je vais relancer la procédure de descente, tout roule. 
on sort les premiers, mais on le laisse nous dépasser il va plus vite que nous, je n’aime pas faire des remous sur les berges.

Cette partie de canal nous est connue puisque hier on est passé dans l’autre sens, vers midi on rentre à nouveau dans le canal du Rhône à Sète.

On traverse les paysages de la Camargue , étangs, roseaux, chevaux, flamands roses,  hérons, ragondins, sur les chemins de Hallage, les promeneurs font signes, on répond, ils prennent la BE en Photo,  c’est sympas.

À 15 h00 on aperçoit, tout au bout d’une longue ligne droite de canal, la tour du mur d’enceinte d Aigues Mortes, impressionnant et le stress commence à monter, va ton avoir de la place au port ? Vais-je pouvoir amarrer sans casse. ?

On sent que la mer est proche, le vent est plus fort, à Aigues Mortes seule une digue sépare le canal de la mer, au Grau du Roi est l’écluse maritime, celle là je ne peux l’emprunter avec le BE qui est un Bateau Fluvial.

Après deux angles à 90° on entre dans le port de plaisance, on vient de traverser le port commercial.

On cherche une place au ponton, plus rien.. ; en face aux bouées et entre les bollards, une place , aller hop je prends, on y rentre sans problème, j’ai manœuvré comme un chef.
On règle les amarres, les défenses, et on boit une bière, oufti qu’elle est bonne.

On sort les vélos et les place sur le quai, on prend une bonne douche froide sur le quai devant la BE ça fait du bien.

Ghislain veut voir la ville, il prend le vélo et il est parti, moi je vais faire une sieste.

lundi 28 mai 2012

dimanche 27 mai 2012 port de Beaucaire.


Dimanche 27 mai 2012, port Saint Gilles,

6h00 on déjeune , Ghislain nettoie le pont, je l’aide un peu.

On va prendre une douche à la capitainerie, on va voir nos emails,  il fait très beau.

Les Maraichers et autres marchants montent leur échoppes pour le marché,  on y va, il est grand et bien achalandé,  on achètera nos légumes, fruits et viande pour midi, 

Ghislain veut gouter le taureau, ok.

11h00, On revient avec les courses et on appareille vers Beaucaire.

12h30, Ghislain se met sur le pont et il nettoie et prépare la salade,  on croise des bateaux de plaisance, c’est un long week-end.

14h30, On s’amarre à Bellegarde pour diner, Taureau et salades vinaigrette  préparation maison. Très bon.

Une sieste de 20 minutes sous un beau platane et sur un beau nid de fourmis on revient à la BE en se baillant et en se grattant.

16h45, on s’amarre devant l’écluse de Nourrigier, c’est une écluse que nous devons actionner nous même, c’est la première,  Ghislain va voir les instructions, lorsque qu’il revient les portes s’ouvrent un plaisancier sort de l’écluse.

Le feu est vert on entre dans l’écluse, un bateau nous suit on l’attend. 

L’autre équipage actionne la montée, je tiens la BE depuis le quai, Ghislain est resté à bord, je dois aller remplir mon heure de passage et les coordonnées  de la BE.

Le plaisancier derrière nous n’attends pas l’ouverture complète des portes et le signal, il appareille et sort avant nous, ce n’est pas les règles apprises dans les cours, mais bon.

Plus loin un petit bateau chargé de 3 fille et trois garçons font une espèce de course derrière nous,  les vagues qu’ils font montent sur les berges du canal, il klaxonne je me retourne, il veux me dépasser,  il klaxonne deux ton.  , j’ai appris que pour demander le dépassement par la gauche on fait deux sons longs et deux courts, par la droite c’est deux sons longs et un son court.

Mais je me serre à droite n’ayant pas d’autre info. Ils passent, visiblement bien éméchés, Ghislain leur dit vous abimez les berges là, ils s’en foutent, ils gonflent un BIP de vin vide et le lance à l’eau, Ghislain se couche sur le pont et le ramasse au passage, les filles mangent des pastèques, elles balancent les restent à l’eau.

On arrive à Beaucaire, le port est rempli plusieurs centaines de bateaux, en passant on vois une place libre à un ponton, on s’y met.

À peine amarré, une dame sort d’un bateau, nous dit que c’est un ponton privé. Que le propriétaire du bateau est parti pour plusieurs jours, que nous ne pourrons pas sortir car des portes ferment l’accès au quai.  Elle est de Namur, elle vit ici depuis longtemps sur son bateau, on lui dit que c’est pour une nuit et que le portillon on ne doit pas le passer.

On le passera quand même car on va faire une petite visite de la ville, sur la place un bal aux flonflons se termine, on visite la vieille ville on arrive au Rhône, de l’autre côté sur la rive on retrouve le château de Tarascon.

Le port de Beaucaire n’a pas d’accès direct au Rhône, d’ici il faut faire ± 45 km de bateau pour aller à Tarascon qui est juste là sur l’autre rive. Une écluse existait mais elle est condamnée, sans doute à cause des crues.

On revient à la BE, il commence à pleuvoir,  je soupe, Ghislain ne mange pas, il fume sur le pont et bois un verre de vin.

La nuit tombe et moi aussi, dodo.

Bises depuis la BE.

La BE en attente d'ouverture du sas.

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le capitaine fait le matelot.

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La BE en attente d'éclusage.

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La BE au Quai de Bellegarde.

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Ghislain prépare la salade pour diner.

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dimanche 27 mai 2012


Samedi 26 mai 2012 port de Saint Gilles, canal du Rhône à Sète.

Saint Gilles vivait ici avec une Biche, un jour les chiens du roi en participant à une chasse coururent après la Biche, elle vint se réfugier auprès de saint Gilles, à la vue de l'homme, les chiens se couchèrent tous, le roi ému de cette événement fit construire une église pour cet homme. 

6 h00 debout, Ghislain nous fait du poriche on déjeune, toilettes-douches et on descend les vélos, on va faire des achats pour raccorder convenablement l’auto radio à la BE et diverses denrées alimentaire.

Je démonte le plancher de la douche, hier j’ai pris la première douche dans la BE ,le pompe chargée de sortir l’eau usée ne fonctionne pas, l’eau reste dans le bac de douche, j’éponge l’eau et démonte le plancher pour atteindre la pompe, je la déconnecte, l’axe semble calé, je l’essaye dans  l’eau  en la raccordant à la batterie directement, rien , elle est foutue.

Je vais à l’agence de location LE BOAT juste à côté, ils ont des dizaines de bateau ici, et un atelier de réparation, mais ne veulent pas me vendre une pompe.

J’ouvre le plancher du moteur et je nettoie le filtre à eau de refroidissement du moteur, il est sale d’une espèce de  boue.

Pendant ce temps Ghislain s’aperçois que l’on a besoin de pièces et de fils, on descend les vélos et allons faire des courses.

Vers 11 heures on s’y remet, je fabrique mes attaches gaffes et les fixes aux endroits prévus, puis j’aide Ghislain aux raccords de la radio.  Au bout de 2 ou 3 heures, il s’avère que le booster JBL ne fonctionne pas, on l(oublie et raccordons les baffles à la radio directement. Super ça marche, on fabrique une antenne provisoire et écoutons de la musique, c’est agréable.

On dine il est 15 heures, nous avions acheté 500 gr de Scampis à l’L’ Inter Marché avec un peu d’aïoli fabrication Ghislain et une baguette,  le capitaine du port vient voir si on reste une nuit en plus, oui c’est décidé on viendra payer à la capitainerie, OK, en fait il viendra lui-même car nous avions oublié.

On écoute de la musique on chante en buvant du rosé sur le pont, des gens nous disent, c’est la bonne humeur chez vous.. Le vin aide sans doute mais oui c’est la bonne humeur sur la Belle Equipe.

On soupe avec des pâtes au thon préparation Ghislain. Je fais la vaisselle c’est convenu.
On parlotte de tout et de rien et DODO. On a passé la journée sur le bateau et on ne la pas vue passer.
Biz, El vi Couvreu et el Vi Ghislain.

sur le quai de Saint Gilles.






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samedi 26 mai 2012


Jeudi 24 mai 2012, on quitte Avignon pour-Arles.

Vers heures, je démarre le moteur, Ghislain largue les amarres, je mets l’hélice en marche avant le moteur bloque net.

Je dis à Ghislain de remettre les amarres, on va voir à l’arrière, je crois qu’un bois est venu bloquer l’hélice, Ghislain ne fait ni une ni feux, il plonge, en effet une branche de ± 8 cm de diamètre bloque l’hélice, Ghislain ne peut le faire bouger, je vais sous le plancher ou passe l’arbre j’essaye de le faire tourner à la mais  il ne bouge pas.

Ghislain replonge, il va voir de près sous le bateau, il voit la branche l’empoigne et la fait bouger, elle se libère, l’hélice tourne avec le courant, pas de dégâts, ouf.
Si je n’avais pas eu Ghislain, ce n’est pas moi qui aurais été dans le courant sous le bateau.

Après s’être essuyé et habillé, Il largue les amarres à nouveau et on est partis faire le plein 200 mètres plus bas.

Le courant est fort el la pompe pas très bien située, dans un angle les remous nous font un peu cafouiller, on s’amarre néanmoins sans dommage.

J’ai une bonne surprise, le plein depuis Valence, 31 ,5 litres pour 22 heures de navigation, on m’avait annoncé 3 à 4 litres à l’heure. 

On descend le courant et je vais doucement mais je suis heureux quand même.

On arrive à la halte nautique de Vallabrègues, Ghislain propose de s’y arrêter, de là, on est plus qu’à 6 km de Tarascon que ni l’un n’i l’autre n’a déjà visité.

La Halte nautique est située en plein virage, mais le fleuve est large à cet endroit, le guide Vagnon la déconseille par mistral, il souffle à peine, il fait très beau, si on voit une place on s’y amarre.

En effet, une seule place est libre, à contre courant, tant mieux c’est plus facile, hop on s’y met en douceur de pros.

On descend les vélos et c’est parti pour Tarascon on y va par la départementale il fait chaud.

On visite la petite ville en vélo, les petites rues sont très sympas, il est 13h30 on voit une belle terrasse ombragée, hop, tartine au saumon fumé, salades diverses quart de rosé. Mhmm. Très bon, mais les assiettes sont minuscules.

On est pas trop lourd pour faire les courses au Super U du coin, puis on reprend la route pour la BE, Ghislain veux rentrer le long du fleuve, on trouve le route mais elle est semée de galets ronds,  les vélos et nous même souffrons, je vois en contre bas un canal et un autre chemin parralèle, je descends le talus et suis ce chemin bien plus aisé, Ghislain me suit.

Il voit une cascade, il me dit arrête toi là, j’ai chaud je suis d’accord, on se déshabille et on entre dans la cascade, quel bonheur. Je dégage des branches et des herbes qui s’y sont amassées derrières les pierres, du coup ça nous libère une espèce de siège dans l’eau que Ghislain ne tarde pas à découvrir, il s’y place et le torrent masse sont dos, il me donne la place, wahouw, que c’est bon.

Rafraichi on reprend la route vers la BE, on range nes courses et on appareille pour Arles. Il est 17h30.

L’écluse de Beaucaire est à trois KM deux commerciaux passent devant, l’éclusier demande si ils peuvent avancer un peu pour me laisser la place, ils refusent ils sont déjà amarrés.

Il reviendra nous chercher dit il, ok, on s’amarre au ponton d’attente.
1 heure plus tard on sort de la première écluse de Ghislain, le test est bon comme si il avait toujours fait ça.

On a vers Arles, pour cela on doit passer l’embranchement du canal du Rhône à Sète, et se diriger vers la mer pendant 4 ou 5 km, on arrive dans Arles, j’ai téléphoné à la Halte Nautique , pas de réponse, vu du fleuve c’est très beau, on ce réjouis déjà de la visiter.

Les petits pontons de Arles sont tous super chargés, des bateaux qui ne bougent pas beaucoup semble t’il, mais aucune place de libre.

Je continue passe les deux ponts de la ville, on cherche un amarrage, rien, il est 20h45, je ne peux pas trainer trop, je vois une usine désaffectée et une péniche hors service devant, c’est parti on s »y amarre.

Le courant et les remous sont très fort ici pour la traversée de la ville le fleuve se resserre.

On se place à coté de la péniche et on s’y amarre, la BE tire sur sa corde que Ghislain doit vite attacher pour ne pas reculer, je l’aide en maintenant l’hélice en avant.

 A l’intérieur de la BE le bruit du courant sous la coque est impressionnant, on se croirait dans un bain à bulle, tant pis il est trop tard pour encore bouger.

On soupe, Ghislain nous fait des pâtes à l’ail fraiche, c’est très bon on ouvre la Tome de Savoie  et une bouteille de côte du Rhône accompagne le menu.

11h30 , on est crevé, couché sur le pont on regarde les étoiles on parle de choses et d’autres, un moment plus personne ne parle, je regarde Ghislain, il dort, moi je viens de me réveiller, l’humidité tombe, on rentre dans la BE.

Je me réveille souvent, le courant tend les amarres de la BE comme des cordes d’arc, je vais souvent les voir. À 3h00 je ne peux plus dormir, je me lève et je lis, je fais la vaisselle, je range,
À 6 heures Ghislain se lève, on fait un tour sur la péniche abandonnée, puis on appareille, ce courant ne me plaît pas du tout.

On repasse ARLES, la ville semble belle, aucune halte possible, incroyable qu’une ville comme celle là n’aie pas un  port de plaisance.

Les remous et courant son forts pour remonter le Rhône jusqu’au petit Rhône et la bifurcation de Beaucaire pour St Gilles.

Sitôt dans le petit Rhône le courant diminue très fort, il est bien balisé et très sauvage, on arrive à la bifurcation du canal du Rhône à Sète on y entre, on avait prévenu L’éclusier de notre arrivée le feu est vert, il nous fait descendre de 150 cm, avant de repartir il me demande les coordonnées du bateau et les miennes, il contrôle la vignette fluviale, il est très sympa, bonne route à la prochaine.

Sitôt dans le canal plus du tout de courant, il se rétrécit et la Be s’y trouve très alaise, moi aussi car j’ai les yeux qui se fermes, je demande à Ghislain de prendre la barre, je vais me faire un café.
Vivement une Halte que je récupère un peu ma nuit  de veille.

Nous regardons le Guide, une halte est possible à Saint Gilles, il faut prendre la déviation vers la droite, on y va.

Arrivé à saint Gilles on vois un quai libre, réservé au bateau de commerce, un plaisancier y est déjà accosté, hop je m’y mets.

Des hollandais en Motor Home sont sur le quai, pas très content que je vienne devant eux mais le quai, c’est pour les bateaux.

Je mange une tartine et me mets au lit, Ghislain va visiter.

Il a été à la Capitainerie du port, des places sont disponibles entre les bateaux de location LE BOAT.

Vers 15h30 on s’y rend, les hollandais sont tous content, nous aussi car la manœuvre est nickel et on a du courant, Wi-fi et les douches et WC . L’endroit est très bien aéré et agréable sur la berge les terrasse des restos et autres commerces. Seul hic, c’est payant évidemment. 21 euros.

On va aux douches, et on passe boire un verre à la terrasse d'un resto, il fait des moules frites on craque.

Petit tour de la petite ville, et on rentre dormir, je tombe de sommeil. 

Biz du vi couvreu et du Ghislain.  

La BE aux Quai de Saint Gilles les frites et moules., le chien voisin.

 
 
 
 
 
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